Elles hurlent, tes vapeurs de vie qui exhalent ta puanteur De tes gênes indignes tremblants au bout de la chaîne Leurs braises impures écarlates de honte Qui sifflent d'insolence et de dégoût La larve s'écrase au sol, dans une flaque visqueuse De restes et de déchets organiques Remuant devant les yeux écarquillés Des complices paraphiliques Une fiente expulsée à l'air libre, à la morgue Vomissant sa haine, sa douleur, à la morgue Une chrysalide corrompue, à la morgue Des reliques de nymphose, à la morgue Une chrysalide corrompue qui se débat Dans un hurlement étranglé et lancinant La chose sourit Il luit d'inutilité Rétines brillantes, la bave aux lèvres Dans une asynchronie pornographique Comme tu craches ta répulsion Du fond de tes entrailles pourrissantes L'inexorabilité se dessine sous les bruits de mastication Des sussions mandibulaires Et dont tu trouveras le pardon Dans les cendres de ses vestiges placentaires Ecorchures incandescentes d'interdépendance Et dont tu trouveras le pardon Dans les cendres de ses vestiges placentaires