Un soleil farouche pèse sur ma bouche en pétales d'or Un soleil de fièvre pèse sur mes lèvres, pèse sur mon corps Et l'été, ce presque rien, ce presque tout, ce comédien Qui se glisse dans ma vie comme un ami Et l'été, ce Jean la fleur, ce Jean le fort, ce baroudeur Qui me met le diable au corps, le diable au cœur Je voudrais t'écrire, je voudrais te dire, je m'ennuie de toi Mais les heures passent, mon désir se lasse au fil de ma joie Un soleil farouche pèse sur ma bouche en pétales d'or Un soleil de fièvre pèse sur mes lèvres, pèse sur mon corps Et l'été, ce presque rien, ce presque tout, ce comédien Qui se glisse dans ma vie comme un ami Et l'été, ce Jean la fleur, ce Jean le fort, ce baroudeur Qui me met le diable au corps, le diable au cœur D'autres me regardent, mon rêve ballade un peu dans leurs bras C'est déjà sourire, c'est déjà le dire, c'est vouloir déjà Un soleil farouche pèse sur ma bouche en pétales d'or Un soleil de fièvre pèse sur mes lèvres, pèse sur mon corps Et l'été, ce presque rien, ce presque tout, ce comédien Qui se glisse dans ma vie comme un ami Et l'été, ce Jean la fleur, ce Jean le fort, ce baroudeur Qui me met le diable au corps, le diable au cœur Qui me met le diable au corps, le diable au cœur