Puisqu'il n'est plus question d'espoir Même s'il n'est pas facile d'y croire J'aimerais je voudrais Ne plus jamais te voir dans le désespoir Et quand tu retiens de l'histoire Le chant du cygne, les chansons tristes N'oublies pas souviens-toi L'amour te trouvera même au fond du noir Tu penses au sud de l'Italie Il est une île où l'on oublie Les souvenirs six pieds sous terre Mais il faudra dormir Oh, il avançait si péniblement Il en voulait même au firmament Il avançait si péniblement D'où vient ce sentiment Je n'vivais qu'une fois dans le noir Quand tu est là, quand tu es lasse Cette première n'est qu'a toi Mais ton soleil hélas n'est que ta douleur Ce que l'on fait n'est pas anodin Ce qu'on omet, ça c'est certain Tu ne fais rien, donc tu n'es rien Ce n'est pas un destin Oh, il avancait si péniblement Qu'il en voulait même au firmament Il avançait si péniblement D'où vient ce sentiment Oh, la, la, la la, la, la la, la, la La, la, la la, la, la la, la, la La, la, la la, la, la la, la, la D où viennent ces sédiments Comme il y a toujours un espoir Que le pire n'est pas pour ce soir Je voudrais j'aimerais À tout jamais, te voir dans une autre histoire Oh, il avançait si péniblement Qu'il accusait même le firmament Il avançait si péniblement D'où vient ce sentiment Oh, la, la, la la, la, la la, la, la La, la, la la, la, la la, la, la La, la, la la, la, la la, la, la D'où viennent ces sédiments La, la, la la, la, la la, la, la La, la, la la, la, la la, la, la La, la, la la, la, la la, la, la L'amour trouve ses enfants