Plus méchant que méchant Et plus bête que bête Leurs manèges sont vieux Qui tournent ton grinçant Sur leurs chevaux de bois où personne ne le monte Vérole On s'est croisé sur une route Sur un trajet sans aucun doute Il faisait beau, il faisait froid On attendait coute que coute ces matinées que l'on redoute En se frottant les bouts des doigts Tu m'as dit viens partons loin Là où la ronde des chemains Nous laisse un peu ici et là Tu m'as dit viens faisons au moins comme le faisaient les anciens En souriant la tête en bas On s'est perdu sur les allée du monde Tu m'as parlé pour que mon âme vagabonde Gamin déchu, je t'imaginais blonde Mais ma conscience est volée vite à chaque seconde Je suis parti là où les anges passent Là où dieux s'éfassent, là où la vie est un mystère originaire de mes arrières Aves mes idées fécondes, je suis parti sur les sentiers du monde On a repeint tous les voyages de milles couleurs et de nappage Nos coeurs brilaient d'or et d'alliage De ces richesse inégalées, et la force au son de ta voix Qui depuis peu guide mes pas Je t'ai juste que pour moi Te làcher, te laisser voler, on s'est suivi bien libéré Consciences on pu cribler des mois Entre les mùrs, sous tous les toits Fini les échelles et les lois On s'est perdu sur les allée du monde Tu m'as parlé pour que mon âme vagabonde Gamin déchu, je t'imaginais blonde Mais ma conscience est volée vite à chaque seconde Je suis parti là où les anges passent Là où dieux s'éfassent, là où la vie est un mystère originaire de mes arrières Aves mes idées fécondes, je suis parti sur les sentiers du monde Les oreillons collimassants On entend dire de toutes façons dans les comtes et d'un bloque tournant Où depuis des générations Les hommes et les savants diront qu'on vie sans un souffle profond Que la vie est trop éphémère Que les rêves et les chimères n'existent pas Qu'il faut se taire L'éspoire en simple direction On me dit fou Mais fou d'action Je suis lancé comme un wagon, à moitié vide Ou plutôt plein Un peu morbide, bourré d'entrain Ami de ma philosophie Voyageur de l'utopie Que le rêve vive et puis Qui m'aiment, suivent