Les vents soufflent et tourbillonnent Quelque chose qui s'abandonne Tu es parti Tu es parti Tout autour de moi n'est qu'absence C'est comme un vieux chagrin d'enfance Tu es parti Tu es parti Sans ce regard aigue marine Je ne suis qu'une figurine Tu es parti Tu es parti Tu es parti Tendresse aux saveurs amères D'une vie qui m'est étrangère Tu es parti Tu es parti Mon corps et moi on capitule Les jours deviennent somnanbules Tu es parti Tu es parti J'étais de celles qui aiment Me voici au bout de moi même Tu es parti Tu es parti Tu es parti Tu es (Et tourbillonnent), parti (Quelque chose), tu es (Qui s'abandonne), parti, tu es parti (Tout autour n'est qu'absence), tu es parti (Comme un vieux chagrin d'enfance) Mon cœur est une chambre morte Les chargrins ont fermé sa porte Tu es parti Tu es parti Tu es parti Tu es parti Tu es parti Parti Parti, parti Parti, parti Tu es parti, parti Parti, parti Tu es parti, parti Parti, parti Tu es parti, parti Parti, parti Tu es parti, parti Parti, parti