J'aime tes paysages de brume Les rayons du Soleil qui peinent Qui peinent Qui peinent Qui peinent Les pierres légères comme des plumes Qui s'élèvent au milieu des plaines J'aime la blancheur de l'écume Aux pieds de falaises inhumaines Inhumaines De falaises inhumaines Les vents du large qui parfument Un air couvert de lichen De la mer d'Iroise, aux terres d'Irlande De la mer turquoise aux austères landes J'aime les camaïeux de bleu et de gris J'aime le beau qui pleut et le ciel qui plie De la mer d'Iroise, aux terres d'Irlande De la mer turquoise aux austères landes J'aime les embruns qui mouillent les yeux Le ciel qui déteint et le beau qui pleut J'aime quand les eaux bouent Seul qui fume Voir un calvaire qui se promène Se promène Promène Promène Les bras ouverts comme de coutume Pour consoler les veuves en peine J'aime la blancheur de l'écume Qui s'envole dans un ciel de traine De traine Un ciel De traine Je préfère ces tons, je l'assume Aux teintes méditerranéenne De la mer d'Iroise, aux terres d'Irlande De la mer turquoise aux austères landes J'aime les camaïeux de bleu et de gris J'aime le beau qui pleut et le ciel qui plie De la mer d'Iroise, aux terres d'Irlande De la mer turquoise aux austères landes J'aime les embruns qui mouillent les yeux Le ciel qui déteint et le beau qui pleut Le beau qui pleut