Marilyn ta bouche s'entrouvre Fiévreusement, je touche le velours de tes dents Je suis minuscule, tu es vertigineuse Ta langue m'enlace, m'aspire goulûment Quand je m'abandonne à la délicieuse Le sofa rougit devient véhément Por y para, para la paranoia Imagino una obra Mira, mira, mirador de mi miente De eungenio, de Dios riente De eungenio, de Dios riente Le temps se déforme Il fond en sanglot devant la glace Dégouline ma peau Mes moustaches frisent Je sais les dompter plus que je ne maîtrise Ce que mon cerveau crée Por y para, para la paranoia Imagino una obra Mira, mira, mirador de mi miente De eungenio, de Dios riente Por y para, para la paranoia Imagino una obra Mira, mira, mirador de mi miente De eungenio, de Dios riente De eungenio, de Dios riente Je suis un paranoïaque transcendantal Mes peurs nourrissent ma folie J'arrive à toucher les étoiles Si de mon cauchemar l’œuvre surgit Por y para, para la paranoia Imagino una obra Mira, mira, mirador de mi miente De eungenio, de Dios riente Por y para, para la paranoia Imagino una obra Mira, mira, mirador de mi miente De eungenio, de Dios riente