C
Le jeune homme écrivait
C7M
Penché sur l'écritoire
C7                    F6
Éclairé de la rue par une aurore avare
   Fm6                         G           C
Et les mots se suivaient comme le fil des ans
        Dm         G          C
Sans jamais s'arrêter un instant

[Verse]
     C
Le jeune homme écrivait
C7M
Penché sur sa mémoire
C7                   F6
Le regard éclairé d'une lueur d'espoir
   Fm6                             G           C
Et les mots se posaient comme le font les flamants
         Dm          G          C
Dans sa tête et sur le papier blanc

[Chorus]
        C                         F6          Fm6
Et les mots se posaient comme le font les flamants
         G                 C
Sans jamais hésiter un instant
       G4                 C
Et le monde tournait pourtant
       G4                 C
Et le monde tournait pourtant

[Verse]
    C
Le bonhomme écrivait

Penché sur l'écritoire
C7                      F6
Le soleil en tombant desséchait l'encre noire
     Fm6                            G           C
Mais les phrases coulaient comme autant de torrents
        Dm        G          C
Sans jamais se tarir un instant

[Verse]
     C
Le bonhomme écrivait
C7M
Penché sur son histoire
C7                         F6
Ses rêves d'autre vie ses rêves d'autre gloire
   Fm6                        G             C
Et les mots racontaient le fil d'un autre temps
         Dm          G          C
Dans sa tête et sur le papier blanc

[Chorus]
        C                         F6         Fm6
Et les mots racontaient le fil d'un autre temps
        G                       C
Sans jamais se tromper d'un instant
        G4               C
Et le monde tournait pourtant
        G4               C
Et le monde tournait pourtant

[Chorus]
     C
Le vieil homme écoutait
C7M
Courbé sur son grimoire
C7                     F6
Le regard fatigué dans la pâleur du soir
     Fm6                              G            C
Mais les mots se taisaient comme le font les tourments
        Dm         G          C
Sans jamais disparaître vraiment

[Verse]
     C
Puis enfin il dormait
C7M
Tombé sur l'écritoire
C7                    F6
Éclairé de la rue par une aurore avare
   Fm6                             G            C
Et les mots s'envolaient comme le font les flamants
       Dm         G           C
De sa tête et de son papier blanc
        C                           F6         Fm6
Et les mots s'envolaient comme le font les flamants
              G                           C
Sans qu'ils sachent ni pour qui ni pour quand

[Chorus]
        G4               C
Et le monde tournait pourtant
        G4               C
Et le monde tournait pourtant
        G4               C
Et le monde tournait pourtant
        G4               C
Et le monde tournait pourtant