Enfin madame, qu'est-ce qui vous prend ?
Ne vous ai-je pas prévenu qu'il me fallait plus de temps.
Ne m'embrassez pas davantage et cessez vos enfantillages,
Ces jeux ne sont plus de nos âges,
Je ne suis pas celui que vous croyez,
Mais bon... restez prendre un café.
Refrain:
Dieu que les femmes sont obsédées
Par le désir de nous toucher
Nous les hommes demandons à rêver
Les yeux ouverts et sans arrière-pensées.
Enfin madame vous continuez ?
Ne vous ai-je pas averti que quand vous espérez mon lit
Vous ne respectez pas l'adage
Que les garçons de bonne famille
Sont aimables après leur mariage,
Je ne suis pas facile, vous voyez,
Mais bon... Voulez-vous encore un café ?
Refrain:
Dieu que les femmes sont obsédées
Par le désir de nous toucher
Nous les hommes demandons à rêver
Les yeux ouverts et sans arrière-pensées.
Enfin madame quoi, vous partez ? (déjà?)
Ai-je dit quelque-chose de mal
Pour ainsi clôturer le bal ?
Voyez mes vêtements ont glissés
Me voilà nu dans mon salon,
Vous avez eu ce que vous vouliez
La nuit est à nous mais promettez
Qu'au matin vous repartirez,
Sans discours et sans simagrée
Après un grand bol de café...
Refrain:
Dieu que les hommes sont réservés
Trop romantiques pour consommer
Vous les femmes agissez en premier
Et prenez les devants pour mieux voler
Notre innocence et nos virginités