Il était dans ma classe, il vivait dans ta rue
C’était celui d’en face, oui tu l’as déjà vu
Il partageait ton car dans les matins méchants
Tu riais de lui car il était différent
Aujourd’hui, c’est toujours la même histoire
Dans la vie ou dans les bruits de couloir
Dans les beaux bureaux en glace
Comme dans les couloirs d’école
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous isole
Sur les écrans, sous des masques
Dans des regards qui rigolent
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous isole
Il était dans ma classe, il vivait dans ta rue
C’était celui qui passe mais son nom, je sais plus
Qu’est ce qu’on peut être idiots quand on est plus nombreux
Je l’avoue le cœur gros, oui j’ai ri avec eux
Aujourd’hui, c’est toujours la même histoire
Dans la vie ou dans les bruits de couloir
Dans les beaux bureaux en glace
Comme dans toutes les cours d’école
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous classe et qui nous cogne
Sur les écrans, sous des masques
Dans des regards qui rigolent
C’est toujours l’effet de masse
Qui nous casse et nous isole
Il était à l’écart et on était plusieurs
Il faut un faire-valoir pour se sentir meilleurs
Il était dans ma classe, il vivait dans ta rue
C’était celui d’en face, on ne l’a plus jamais vu
Estaba en mi clase, vivía en tu calle
Era lo opuesto, sí, ya lo has visto
Compartió tu autobús por las mañanas malvadas
Te reíste de él porque era diferente
Hoy, siempre es la misma historia
En la vida o en los pasillos con ruido
En las hermosas oficinas de hielo
Como en los pasillos de la escuela
Siempre es el efecto de masa
Quien nos rompe y nos aísla
En pantallas, debajo de máscaras
En miradas que ríen
Siempre es el efecto de masa
Que nos rompe y nos aísla
Estaba en mi clase, vivía en tu calle
Él fue quien pasaba pero su nombre, no lo sé
Qué podemos hacer cuando se es idiota, cuando hay más de nosotros?
Admito con un corazón duro, sí, me reí con ellos
Hoy, siempre es la misma historia
En la vida o en los pasillos con ruido
En las hermosas oficinas de hielo
Como en todos los patios escolares
Siempre es el efecto de masa
Quien nos clasifica y quien nos golpea
En pantallas, debajo de máscaras
En miradas que ríen
Siempre es el efecto de masa
Que nos rompe y nos aísla
Él estaba fuera y éramos varios
Necesitas un títere para sentirte mejor
Estaba en mi clase, vivía en tu calle
Era lo opuesto, nunca lo volvimos a ver