A                     Amaj7 
 A force de frapper l'enclume
                         Em 
 De regarder passer les lunes
                         C 
 Tu sais parler de nos aïeux
                                    A 
 Comme s'ils n'avaient jamais était vieux


   A                     Amaj7 
 La cheminée s'etonne encore
                          Em 
 La charrue ne s'essoufle plus
                                  C 
 Tu ressembles a ces chercheurs d'or
             Cmaj7        A 
 Qui aurait un secret de plus


   A                         Amaj7 
 Ta bouche est sucree de legendes
                            Em 
 Que l'on deguste comme un festin
                           C 
 Un festin qui n'est pas a vendre
             Cmaj7            A 
 Mais qui se donne comme un matin


   A                          Amaj7 
 Et quand l'hiver trompe l'automne
                              Em 
 Se prenant pour un faux printemps
                         C 
 Tu nous parles d'une anemone
                Cmaj7                 A 
 Poussée au coeur de tes vingt ans


   A                   Amaj7 
 Au marecage de ton passe
                             Em 
 J'irai offrir mes pieds honteux
                       C 
 j'auréolerai de tes années
                Cmaj7            A 
 celles qui feront de moi un vieux


[Instrumental]
A   Amaj7   Em   C   Cmaj7   A 


[Verse 2]
 A                         Amaj7 
 Puisse cette ode rester a Emile
                           Em 
 Au plus Grand maréchal ferrant
                            C 
 Puisse cette ode rester a Emile
             Cmaj7             A 
 Au petit vieux de tous les temps


   A                         Amaj7 
 Quand la machine ne tourne plus
                                 Em 
 Que l'heure de l'heure du glas approchent
                              C 
 On se chantent un tout petit vin
                         A 
 on se boit un dernier Refrain


 Dm   Dm6   A 


[Otro]
               Dm  Dm6    A 
 Et puis tranquille
             Dm  Dm6    A 
 on peux partir
           Dm  Dm6      A 
torcher le cul au firmament