Jamais je n'oublierai le nom de Rodrigues
Son déhanché léger qui intrigue
L'art de la longue sieste, l'indolente fatigue
L'air est doux de la dune à la digue
Jamais je n'oublierai le dernier paradis
Les vestiges d'un temps évanoui
Le calme suranné, le silence infini
La lumière de fin d'après-midi
Et la lenteur, la lenteur
Règne sur les corps et les cœurs
La lenteur, la lenteur
Le dernier paradis vit au rythme du vent
Le dernier paradis s'enfonce lentement
Le dernier paradis est une île idéale
Le dernier paradis a la joie boréale
Le dernier paradis vit au rythme du vent
(Et des langues de Soleil qui roulent encore sur lui)
Le dernier paradis s'enfonce lentement
(Dans la mer de corail qui mouille encore pour lui)
Le dernier paradis est une île idéale
(Aux contours alanguis dans un demi-sommeil)
Le dernier paradis a la joie boréale
(D'un Éden inconquis protégeant ses merveilles)
Le dernier paradis vit au rythme du vent
(Et des langues de Soleil qui roulent encore sur lui)
Le dernier paradis s'enfonce lentement
(Dans la mer de corail qui mouille encore pour lui)
Le dernier paradis est une île idéale
(Aux contours alanguis dans un demi-sommeil)
Le dernier paradis a la joie boréale
(D'un Éden inconquis protégeant ses merveilles)
(Et des langues de Soleil qui roulent encore sur lui)
Le dernier paradis
(Dans la mer de corail qui mouille encore pour lui)
(Aux contours alanguis dans un demi-sommeil)
Le dernier paradis
(D'un Éden inconquis protégeant ses merveilles)
Aah!
(Et des langues de Soleil qui roulent encore sur lui)
(Le dernier paradis)
(Dans la mer de corail qui mouille encore pour lui)
(Aah)
(Aux contours alanguis dans un demi-sommeil)
(Le dernier paradis)
(D'un Éden inconquis protégeant ses merveilles)
Cris de sirène
Le dernier paradis
Hurlement
Le dernier paradis
(Aah!)